We interrupt our regular news bulletin to bring you this special announcement about a recent temporary outage of our primary domain name. Now this is a story all about how our domain got flipped-turned upside down, and I’d like to take a minute, just sit right there, I’ll tell you how we restored the glue records of puri.sm.
Comment un mathématicien anglais excentrique et antimilitariste a changé le cours de la Seconde Guerre mondiale.Et si le débarquement de Normandie n'avait été possible que grâce à un mathématicien antimilitariste et anticonformiste, dont le rêve était de construire un cerveau artificiel ? Le doux rêveur en question s'appelle Alan Turing et son domaine d'études est la branche la plus fondamentale des mathématiques : la logique. Bien loin, en principe, de toute application concrète. Comment ce savant excentrique a-t-il pu contribuer à la victoire des Alliés ? La réponse se trouve dans la petite ville de Bletchley Park, dans la grande banlieue londonienne. C'est ici que s'est jouée pendant la Seconde Guerre mondiale une vaste partie d'échecs dont l'enjeu était le décryptage des communications secrètes de l'armée allemande. Une partie dont la pièce maîtresse a justement été Alan Turing – l’inventeur de ce qui ne s’appelait pas encore l’ordinateur. Esprit plus que brillant, Turing sera pourtant traité de manière odieuse au lendemain de la guerre : son homosexualité lui ayant valu des poursuites judiciaires, il se suicidera en 1954 après avoir dû subir une castration chimique.La guerre des codesL'accès récent à de nouvelles archives permet aujourd'hui de porter un regard neuf sur la bataille de l'Atlantique, la campagne d'Afrique ou encore le débarquement de 1944. Ce documentaire mêle avec vivacité et pertinence des archives, des entretiens avec des historiens et des séquences en animation. À la lueur d'une guerre des codes longtemps restée secrète, il propose de relire un épisode historique sur lequel tout semblait avoir été dit.
En matière de présentation orale, certaines idées reçues ont la dent dure. Voici les plus persistantes. Parvenir à les surmonter vous permettra de faire vivre une belle histoire à votre auditoire au cours de votre présentation.Mensonge n°1 : vos slides ont de l'importanceMensonge n°2 : vos slides sont une référence pour le publicMensonge n°3 : préparez le plan de votre présentation pour ne pas risquer de perdre le fil en cours de routeMensonge n°4 : exercez votre gestuelleMensonge n°5 : utilisez les minutes qui vous sont allouéesMensonge n°6 : votre public n'a pas envie d'être làMensonge n°7 : faire des pauses rend nerveuxMensonge n°8 : il faut adopter un certain formalisme quand on fait une présentation devant des supérieurs hiérarchiques ou des clients
L'artiste Julien Prévieux a passé 7 ans a écrire des centaines de lettres de démotivation, en réponse à de vraies offres d'emploi.Lauréat du prix Marcel Duchamps en 2014, Julien Prévieux questionne la violence du marché du travail et le cynisme de l’économie actuelle. En se moquant des codes inhérents à l’exercice de la lettre de motivation, l’artiste dénonce les aberrations du 21e siècle.Artiste parisien, Julien Prévieux tord le cou aux conventions propres à la recherche d'emploi ; un chemin souvent semé d'embûches qui s’apparente parfois à un véritable parcours du combattant.Afin de démontrer le cynisme de certains responsables des ressources humaines, aussi bien dans la formulation de leurs offres d'emploi que dans leur gestion des candidatures et dans la rhétorique implacable de leurs réponses toutes faites (voire leur absence de réponse), l’artiste a envoyé plus de 1 000 lettres de non-motivation en sept ans, soit une quinzaine par mois. Taux de réponse : 5% seulement.source: http://www.previeux.net/pdf/non_motivation.pdf
Pour l'instant, l'entreprise a déjà étudié quand et où ses utilisateurs «s'autocensurent». La technologie pour savoir ce qu'ils écrivent existe déjà.Il y a quelques mois, un de mes amis a demandé sur Facebook:«Vous croyez que Facebook traque les choses que les gens tapent puis effacent avant d'appuyer sur "entrée" ou sur le bouton "poster ce statut"?»Bonne question.On passe beaucoup de temps à penser à ce que l'on poste sur Facebook. Est-ce que je devrais contredire l'argument politique de cet ami de lycée?Est-ce que mes amis veulent vraiment voir une autre photo de mon chat ou de mon bébé? La plupart d'entre nous a, à un moment ou un autre, commencé à écrire quelque chose avant –probablement sagement– de changer d'avis.Malheureusement, le code qui alimente Facebook sait quand même ce que vous avez tapé –même si vous décidez de ne pas le publier. Il s'avère que les choses que l'on choisit explicitement de ne pas partager ne sont pas entièrement privées.Facebook considère ces pensées non-postées comme de «l'autocensure», et on trouve des révélations sur la façon dont l'entreprise collecte ces non-statuts dans une récente étude écrite par deux Facebookers.
Atelier n°19 – Zététique – Dérives sectaires et esprit critique (vidéo) Conférence du 6 février 2013 à la BU Sciences, par Richard Monvoisin du collectif Cortex
Depuis une semaine, une mésange a pris l'habitude de se percher devant les caméras de surveillance de la ville de Gloucester.Depuis une semaine, la police de Gloucester, dans le sud-est de l'Angleterre, traque non pas les voleurs... mais une mésange bleue, laquelle a la fâcheuse habitude de perturber leur travail, rapporte The Telegraph.L'oiseau semble particulièrement apprécier les caméras de surveillance de la ville, devant lesquelles il se perche régulièrement. Sauf que ce faisant, il bouche la vue aux enquêteurs, et les empêche donc de faire correctement leur travail !
Très peu de choses sont connues sur l'artiste japonais qui se fait appeler avogado6. Tout ce que nous savons, c'est qu'il aime beaucoup la chimie et sa photo de profil est un portrait du célèbre savant italien Avogadro. Cependant, les formules ennuyeuses n'apparaissent nulle part dans les œuvres de cet illustrateur mystérieux.
Cyanide & Happiness
Facebook is rolling out a new security feature called Protect to many users of its iOS app. While the name might make unknowing users feel good about installing the associated free app, the Facebook owned VPN is designed to collect and analyze user data to “improve Facebook products and services.”As reported by TechCrunch, Facebook purchased the security software company Onavo back in 2013. It is the Facebook owned Onavo Protect iOS app that is linked to in the Facebook iOS app settings under the “Protect” label.While the VPN app is designed to give users “peace of mind” and “an added layer of security” by routing your web browsing through its servers, the company also analyzes and collects users data to improve its services as well as Facebook’s products and services.
La presse française a repris ces derniers jours la belle histoire d'un homme dépressif que Netflix avait contacté pour s'assurer qu'il allait bien. Problème : cette histoire est fausse.Il était une fois un utilisateur de Netflix qui, souffrant de dépression, passa une semaine entière à bingewatcher la série comique The Office, tous les 188 épisodes. Le service de streaming par abonnement, alerté par le fait que le compte de l’homme était utilisé en permanence, le contacta par e-mail afin d’être sûr que tout allait bien. Celui-ci fut ému et touché de savoir qu’un étranger d’un service client le considérait assez pour s’assurer de son bien-être.
Le film aborde la question de la surveillance de masse et son degré d'acceptation par la population résumé par l'argument « je n'ai rien à cacher ». Le fil rouge du documentaire est une expérience d'espionnage volontaire mené sur Mister X, jeune comédien vivant à Berlin. Avec son accord, les métadonnées de son ordinateur et de son smartphone sont récoltées durant un mois à l’aide d’un logiciel espion, puis analysées par des chercheurs. Cela afin d'illustrer le fait qu'il est alors possible d'extraire de nombreuses informations personnelles à partir des services en ligne, réseaux sociaux et applications mobiles (Google, Facebook, WhatsApp etc.). Cette expérience est entrecoupée d'interventions de lanceurs d'alerte, hackers ou victimes de la surveillance.Le documentaire s'intéresse également aux dérives récurrentes des États ayant recours à la surveillance de masse que ce soit à l'époque de la Stasi, police d'État en Allemagne de l'Est (RDA) ou aujourd'hui dans des États dits démocratiques. Le documentaire présente enfin des solutions pour aider les utilisateurs à protéger leurs données en ligne comme le recours aux logiciels libres, au chiffrement des communications (messagerie Signal, PGP) ou au navigateur anonyme Tor.https://vimeo.com/193515863
Et si la nature même de la surveillance avait changé sans que l'on s'en rende compte ? En effet, l'émergence massive des réseaux sociaux et des smartphones – qui recueillent constamment nos traces numériques – a permis de nouvelles formes de surveillance dont chacun est à la fois le sujet et l’observateur.
Après avoir vendu un système de surveillance électronique à la Libye de Mouammar Kadhafi, la société Amesys a changé de nom et d’actionnaire pour vendre ses services au nouveau pouvoir égyptien. Sans que l'Etat français y trouve quelque chose à redire.Eté 2011 : rattrapé par le printemps arabe, Mouammar Kadhafi est en fuite. Dans une Libye insurrectionnelle, une entreprise française inconnue du grand public prend la lumière à son corps défendant. Au cœur d’un centre d’écoute de Tripoli, deux journalistes du Wall Street Journal identifient formellement son logo sur un panonceau. Elle s’appelle Amesys, et elle a vendu un système de surveillance des télécommunications à la Jamahiriya du colonel. Une « faveur » de Nicolas Sarkozy, pour signer le retour de Kadhafi dans le concert des nations, avec l’aide de l’incontournable intermédiaire Ziad Takieddine. Un an plus tard, une information judiciaire est ouverte contre Amesys, pour complicité d’actes de torture. Ses outils auraient permis au régime libyen de traquer et de torturer des opposants.
Si ce brevet est utilisé par Facebook, vous aurez intérêt à avoir des amis dont les scores de crédit sont élevés.Les entreprises comme Google, Microsoft ou Facebook déposent de nombreux brevets, mais tous ne sont pas utilisés.Et tout ce que l’on peut souhaiter, c’est que le brevet qui a récemment été délivré à Facebook (« Autorisation et authentification basée sur le réseau social de l’individu ») ne lui serve jamais.En effet, dans un paragraphe du document, on peut lire ceci :« Lorsqu’un individu demande un prêt, le prêteur examine les scores de crédit des membres du réseau social de l’individu qui est connecté à cet individu via un nœud autorisé. Si le score de crédit moyen de ces membres atteint le score de crédit minimum, le prêteur continue d’examiner la demande de prêt. Sinon, la demande est rejetée ».Plus vous avez d’amis qui ont du mal à rembourser leurs prêts, plus cela serait risqué pour le prêteur de vous en accorder un, et inversement.Dans un tel monde, on ne pourrait plus ajouter n’importe qui sur Facebook, n’est-ce-pas ?
Dans son rapport public annuel 2018, la Cour des comptes a reconnu l'intérêt du logiciel libre, décrit comme un « puissant facteur d’efficience et d’influence » mais aussi une façon de répondre à un « enjeu de sécurité et de souveraineté ».Si le logiciel propriétaire occupe encore une place importante dans les ministères et les administrations, à l’image des contrats passés avec Microsoft pour la défense et l’éducation nationale, ce qui a le don d’exaspérer les partisans du logiciel libre, qui aimeraient bien voir l’État entamer une cure de désintoxication, le rapport de force n’est plus aussi déséquilibré que par le passé.Des initiatives favorables au logiciel libre existent, comme le socle interministériel de logiciels libres : il s’agit d’une liste actualisée tous les ans dans laquelle l’État, via sa Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de communication (Dinsic) et les directeurs des systèmes d’information des ministères, regroupe les programmes recommandés en la matière.
VideoLAN, the team behind the VLC media player, recently revealed that they turned down several tens of millions of euros to bundle their software with advertising. The same cannot be said of third-party developers cloning VLC for profit, however. An ad-supported clone discovered on Google Play has a staggering five to ten million downloads and breaches VLC's GPL license, yet Google refuses to take it down.
Le plus grand danger, à long terme, estime le journaliste du « Monde » Damien Leloup, est celui de créer des sociétés habituées à la surveillance de masse permanente, dans laquelle tout libre arbitre disparaît dans les bases de données de quelques entreprises géantes....C’est un cliché qui, une fois n’est pas coutume, est un peu vrai : les données personnelles sont le « nouvel or noir », la clef de la nouvelle économie... Si, par « or noir », vous entendez une substance dangereuse à laquelle notre économie et nous-même sommes devenus accros, tout en sachant pertinemment que des catastrophes sont à venir. Tout en faisant semblant de croire, à chaque catastrophe, que le pire est derrière nous et qu’il n’y en aura probablement pas d’autre.
Quand on doute, il est toujours utile de se fier aux proverbes. Attention un proverbe n’est qu’un conseil, ce n’est pas une loi : il ne faut donc jamais les appliquer de manière absolue !« Ne pas pisser contre le vent »Il est préférable de se renseigner sur ce que pensent les autres, agir à l’encontre du bon sens, ça pourrait vous revenir dans le nez au mauvais moment.« C’est dans les ciels bleus qu’éclatent les orages »Un crack apparaît généralement quand tout semble se passer pour le mieux.
Les personnes extraverties me fatiguent.Elles parlent fort, elles ont un avis sur tout et tiennent à vous le faire savoir, elles causent et causent encore – on a l'impression que le silence leur apparaît comme la pire des offenses– elles s'agitent dans tous les sens et ne connaissent pas le repos, elles pensent à haute voix en un débit saccadé qui jamais ne s'interrompt, elles distribuent les bons comme les mauvais points dans un déluge de commentaires assourdissants et quand on les supplie d'arrêter avec leur diarrhée verbale elles se vexent avant de repartir de plus belle.Parfois on aimerait les gifler mais on n'ose pas; on a des pudeurs.