Pour l'instant, l'entreprise a déjà étudié quand et où ses utilisateurs «s'autocensurent». La technologie pour savoir ce qu'ils écrivent existe déjà.Il y a quelques mois, un de mes amis a demandé sur Facebook:«Vous croyez que Facebook traque les choses que les gens tapent puis effacent avant d'appuyer sur "entrée" ou sur le bouton "poster ce statut"?»Bonne question.On passe beaucoup de temps à penser à ce que l'on poste sur Facebook. Est-ce que je devrais contredire l'argument politique de cet ami de lycée?Est-ce que mes amis veulent vraiment voir une autre photo de mon chat ou de mon bébé? La plupart d'entre nous a, à un moment ou un autre, commencé à écrire quelque chose avant –probablement sagement– de changer d'avis.Malheureusement, le code qui alimente Facebook sait quand même ce que vous avez tapé –même si vous décidez de ne pas le publier. Il s'avère que les choses que l'on choisit explicitement de ne pas partager ne sont pas entièrement privées.Facebook considère ces pensées non-postées comme de «l'autocensure», et on trouve des révélations sur la façon dont l'entreprise collecte ces non-statuts dans une récente étude écrite par deux Facebookers.
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