Des chats domestiques aux éléphants, les animaux sont très sensibles à certains psychotropes présents dans la nature. Une exploration malicieuse et documentée, qui éclaire aussi notre propre rapport aux drogues.
Plantes, fruits, champignons : au fil des millénaires, la nature a créé une multitude de substances aux effets parfois… stupéfiants. Que leur consommation soit volontaire ou accidentelle, elles occasionnent chez certains de nos cousins à plumes, à poils et à écailles des réactions qui ne trompent pas. Perte d’équilibre et de coordination, somnolence ou frénésie : les bêtes manifestent tous les signes d’une altération de la conscience, qu’elles semblent bien souvent apprécier. Les rennes du Grand Nord finlandais s’avèrent ainsi grands amateurs de la molécule hallucinogène que renferme l’amanite tue-mouches ; les chats domestiques et certains de leurs cousins se "shootent" à la cataire, la bien nommée "herbe à chat", tandis que les éléphants d’Afrique se mettent à vaciller au moindre gramme d’alcool contenu dans les fruits fermentés dont ils raffolent.
Une pratique universelle ?
Les animaux recherchent-ils délibérément ces paradis artificiels ? Peuvent-ils en abuser au point de devenir dépendants ? Que nous apprennent-ils sur notre rapport parfois compliqué à l’alcool et aux autres psychotropes ? Aux côtés de scientifiques, cette exploration d’un comportement qui semblerait presque universel dans le règne animal éclaire sous un nouveau jour un pan de notre histoire évolutive.
Cette vidéo remonte à 2018 mais elle est devenue virale sur le net. Elle montre un homme passant sa main au travers d’un flot de métal en fusion et ressortir intact. Voici l’explication scientifique derrière cette expérience... que l'on vous conseille évidemment de ne surtout pas tenter.
Vous avez peut-être déjà visionné cette vidéo virale d’un homme passant sa main au travers d’une cascade de métal fondu d’un air désinvolte, tel un chaton jouant avec le jet du robinet. En la voyant, on ne peut pas s’empêcher de se demander au premier abord s’il ne s’agit pas d’un canular. Et pourtant, ce tour de force est bien réel et cache une explication scientifique.
Avec la pandémie de covid, le lavage des mains a été fortement encouragé (et l’est toujours). Des gels et savons ont été mis à disposition. Par ailleurs, les consommateurs sont incités à utiliser des produits solides ou en vrac. Cela favorise-t-il les risques de contamination ? Réponse dans The Conversation.
La récente pandémie de Covid a bouleversé notre quotidien et fait évoluer nos rituels d’hygiène… en imposant le port du masque, comme en remettant sur le devant de la scène le nettoyage des mains. Ainsi, les communications de Santé publique France rappellent à nouveau depuis trois ans l’importance de se laver régulièrement et soigneusement les mains pour limiter les risques d’infection.
Savons et gels hydroalcooliques ont dans le même temps réinvesti les lieux d’accueil du public. Des légions de mains se sont ainsi relayées aux distributeurs collectifs placés aux entrées des magasins et autres savons solides des sanitaires.
La prise de conscience de l’impact environnemental incite en parallèle les consommateurs à favoriser des produits d’hygiène solides ou commercialisés en vrac afin de limiter les emballages, notamment en plastique.
Face à ces nouvelles pratiques, existe-t-il de nouveaux risques de contaminations microbiologiques ? Dans quelle mesure les produits d’hygiène mis à disposition dans un lieu public peuvent-ils être infectés et nuire à la santé ?
Comprendre ces risques et leurs enjeux implique de revenir sur les propriétés et la composition des produits d’hygiène, de rappeler les réglementations ainsi que les sources de contamination potentielles.
Un peu d’histoire : depuis quand recommande-t-on de se laver les mains ?
C’est en 1847 que le médecin Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865) démontre l’utilité du lavage des mains au savon dans la prévention des cas de fièvre puerpérale.
En 1961, le Service de Santé publique des États-Unis publie une recommandation ordonnant au personnel de santé de se laver les mains avec du savon et de l’eau pendant 1 à 2 minutes avant et après contacts avec les patients, afin de réduire la propagation des microorganismes pathogènes.
C’est ainsi que l’utilisation du savon s’est étendue sous l’influence des épidémies à transmission manuportée telles que les grippes, gastroentérites, toxi-infections alimentaires et communautaires (TIAC) et plus récemment le Covid-19. L’hygiène des mains limite considérablement la circulation des agents infectieux, réduisant de façon conséquente la consommation d’antibiotiques – et la probabilité de voir apparaître des résistances dont prise en charge et traitement sont difficiles et coûteux. Malgré cela, cet usage est encore trop limité.
Solide, liquide, moussant : les grands types de savons
Produit d’hygiène ancré dans les pratiques quotidiennes, privées et médicales, le savon ou plutôt « les » savons se déclinent aujourd’hui sous différentes formes, solide, liquide et même sous forme de mousse, selon le procédé de fabrication et la composition.
Un savon est obtenu par réaction chimique de saponification entre un composé basique et des corps gras, huiles ou graisses. C’est la nature du composé basique qui définit la texture du savon : solide avec la soude, liquide avec la potasse.
- Un savon solide est obtenu par réaction de saponification d’huile (olive, palme, coco…) et de soude, à froid ou à chaud. Anhydre, son pH est basique, compris entre 8 et 10.
- Un savon liquide renferme des composés obtenus par réaction de saponification d’huile et d’hydroxyde de potassium dilué dans de l’eau. Constitué d’une quantité importante d’eau, son pH est neutre à basique, compris entre 7 et 9.
- Un gel moussant est obtenu par un procédé classique de mélange de différents ingrédients : de l’eau, des tensioactifs synthétiques ou naturels ayant des propriétés nettoyantes et moussantes, des gélifiants et des agents conservateurs. Son pH est neutre, compris entre 6 à 7.
Le savon n’a eu de cesse de changer de statut, considéré soit comme un produit cosmétique, soit comme un produit d’hygiène, un excipient ou encore une substance active – dans la mesure où il pouvait être utilisé dans des préparations destinées à traiter la gale, les brûlures ou dans des purges.
Considéré depuis le XIXe siècle comme un médicament, c’est la loi de 1975 puis la directive 76/768 CEE (4) qui reclassifient le savon en produit cosmétique, interdisant de fait les revendications d’actions thérapeutiques. Ainsi, le savon parfume, nettoie et protège la peau, permet de limiter les odeurs corporelles mais il ne soigne pas.
À côté des savons grand public, les savons dits antiseptiques sont des dispositifs médicaux. Ils combinent un détergent et un antiseptique, qui leur confèrent des propriétés nettoyantes et anti-microbiennes. La réglementation leur impose de répondre à des exigences précises en termes d’efficacité bactéricide, fongicide et virucide, excluant de fait le risque de contamination.
Enfin, les gels et solutions hydroalcooliques sont quant à eux des biocides. Constitués majoritairement d’eau distillée et d’alcool (à raison de 65 à 75 %), ce sont d’excellents désinfectants destinés à éliminer les microbes de la peau saine, avec un très large spectre d’action contre les microorganismes, excluant de fait le risque de contamination.
Peut-on être contaminé par un savon ?
La probabilité de contamination d’un savon est intrinsèquement liée à sa composition, qui détermine son pH et sa teneur en eau libre. La plupart des bactéries pathogènes se développent à un pH proche de la neutralité (pH~ 7) avec une tolérance entre 6 et 9. A contrario, un milieu dont le pH est très acide ou très basique ralentit leur croissance.
Les savons solides, basiques, présentent donc un risque de contamination faible. Ils ne peuvent héberger des microorganismes ni dans leur masse, ni en surface, tant et si bien que la législation en cours via la norme ISO 29621 a établi que l’ajout de conservateurs n’était pas nécessaire. Ainsi, il n’y a pas de risque à utiliser un savon solide qui s’éterniserait sur un évier ou un lavabo dans les conditions classiques d’utilisation.
La teneur en eau libre (AW= activity of water), susceptible d’être utilisée par les enzymes du métabolisme microbien, a également un impact sur la prolifération microbienne. Plus l’AW d’un produit est élevée et plus ce dernier sera propice au développement de microorganismes. De pH neutre, avec une AW élevée, les gels moussants et les savons liquides sont à risque de contamination, et c’est pour cela que les fabricants industriels y ajoutent des conservateurs. Leur efficacité est évaluée grâce à un test standard normatif (challenge test, norme ISO 11930), afin de garantir que la croissance microbienne est limitée dans des conditions normales de stockage et d’utilisation pendant la durée de vie du produit.
Quelle que soit la forme du savon, leur fabrication industrielle requiert de respecter de bonnes pratiques de fabrication (BPF), qui comprennent des contrôles microbiologiques et des tests quand c’est nécessaire, pour évaluer les agents conservateurs. Ainsi, il n’y a pas de risque à utiliser des savons industriels.
Que penser des ventes de savon liquide en vrac ? Un vrai défi pour les points de vente qui assurent le conditionnement et se doivent de garantir le respect de la règlementation ! Ils doivent eux aussi appliquer les bonnes pratiques de fabrication (BPF), disposer de Dossiers d’Information sur les Produits (DIP), notifier les produits et mettre leur nom sur les étiquettes.
Depuis la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, les professionnels sont tenus d’accepter les contenants des consommateurs dès lors qu’ils ne sont pas sales ou inadaptés. Le Code de la consommation, article L.120-1, autorise la vente en vrac de produits de consommation courante, sauf exception justifiée par des raisons de santé publique. L’article L.120-2 prévoit quant à lui qu’un affichage en magasin informe les consommateurs sur les règles de nettoyage et d’aptitude des contenants réutilisables.
Voilà pour la théorie, qui sous-entend des gérants au fait de la législation, et une attention particulière des autorités sanitaires.
De très rares cas de contaminations avec un savon
De rares contaminations peuvent toutefois survenir. Elles trouvent leur origine au niveau industriel, en lien avec des dysfonctionnements des procédés de production, de conditionnement et de stockage qui favorisent le développement de souches de bactéries résistantes en milieu basique comme Cellulosimicrobium, Dietzia, Arthrobacter et Micrococcus (dont le potentiel virulent est peu étudié). L’installation d’équipements de purification d’air et de filtration de l’eau peut apporter un réel bénéfice pour éliminer ce risque.
Quelques rares cas ont été documentés. Des contaminations de Nesterenkonia lacusekhoensis (Micrococcus) ont par exemple été observées en 2016 au Canada sur des savons de Castille, suite à un changement d’odeur. Ces bactéries aérobies vivent dans des environnements extrêmes à des températures supérieures à 30 °C, sols et eaux hypersalés alcalins, sols désertiques. Bien qu’elles soient peu pathogènes, les savons ont été retirés du marché à la demande du gouvernement canadien.
Les savons de Castille sont spécifiques car fabriqués selon la technique de saponification à froid, lente et moins polluante en comparaison de la saponification à chaud utilisée pour les savons de Marseille et d’Alep. Ce qui en a fait un milieu de choix pour N. lacusekhoensis. Cependant, à l’heure actuelle, aucune étude ne démontre l’influence de la technique de saponification à froid ou à chaud sur le niveau de risque de contamination.
D’autres cas de contaminations ont été observés dans des distributeurs de savons liquides et de gels moussants dans l’espace collectif (restaurants ou toilettes publiques). Ici, c’est l’étape de rechargement des distributeurs qui est critique, dans la mesure où elle favorise la pollution par des bactéries fécales dont certaines, comme Escherichia coli, peuvent être responsables de gastro-entérites. Pour éviter ce phénomène, les autorités sanitaires préconisent le nettoyage et la désinfection des distributeurs avant le rechargement.
En résumé : le risque est très faible
En synthèse, les contaminations de tous ces produits d’hygiène des mains sont très rares, tout comme les risques de transmission de maladies infectieuses par leur biais.
Les savons ont un rôle nettoyant et enlèvent l’ensemble des matières organiques à la surface de la peau, y compris les microorganismes. Leur rôle est donc bien différent de celui des produits hydroalcooliques, qui ne lavent pas mais désinfectent (quand la peau est débarrassée des saletés).
Le savon reste ainsi le moyen le plus simple et le plus efficace pour prévenir la propagation des infections… À utiliser tout de même avec modération, car les lavages excessifs fragilisent le microbiote cutané et le film hydrolipidique de la peau, qui aura plus de difficulté à lutter contre les invasions microbiennes.
Après la sortie de notre documentaire "Pyramide, le grand virage" la chaîne Le grand virage s'ouvre vers de nouveaux horizons. En effet, après le succès du premier film, nous allons désormais proposer un contenu en adéquation avec l'actualité et des sujets de vulgarisation et de debunk des différentes théories ou sujets sur internet.
L’ALDHHAA est l’Association de Lutte contre la Désinformation en Histoire, Histoire de l’Art et Archéologie.
L’association se positionne contre la désinformation et la réécriture des faits historiques (aux dépens des consensus scientifiques). Notamment si elle est au profit d’idéologies politiques et/ou nationalistes, de manipulations des discours, de théories sectaires ou complotistes. Elle tend à vu
Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information.
Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : en finançant abondamment des études scientifiques concurrentes, susciter un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
Agnotologie
Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein.
Avez-vous déjà fabriquer une lampe à lave ? Le Labo Folie vous dévoile les secrets de cette expérience à réaliser en famille ! Immersion en vidéo pour toute la famille dans le labo !
Pour réaliser cette expérience scientifique, il vous faut :
- Un récipient en verre
- Du bicarbonate de soude
- Du colorant alimentaire
- Du vinaigre blanc
- De l'huile
- Une cuillère à café ou d'une pipette
Comment faire ?
- Versez le bicarbonate de soude dans le récipient afin de former un lit au fond de celui-ci.
- Ensuite, versez l'huile très délicatement dans le récipient de sorte qu'elle ne se mélange pas au bicarbonate ;
- Versez du vinaigre dans un verre avec 4 à 5 gouttes de colorant alimentaire.
- Avec l'aide d'une pipette ou d'une cuillère, déposez des bulles de vinaigre à la surface de l'huile.
- Si vous disposez d'une lampe à led vous pouvez la positionner en dessous et la lampe de lave sera tout à fait réussie !
Que s'est-il passé ?
C'est la réaction chimique entre le vinaigre et le bicarbonate de soude qui produit du gaz carbonique. Ce gaz va faire remonter les bulles de vinaigre à travers l'huile. Le bicarbonate évaporé, la bulle de vinaigre peut retomber sur le lie au fond et se recharger en bicarbonate et retomber encore. Ainsi de suite jusqu'à évaporation totale du bicarbonate.
Nourrie d'expériences scientifiques menées dans les classes, une éclairante enquête en deux volets sur l'école du futur. Des chercheurs tentent d'utiliser les neurosciences pour révolutionner l’école. La "neuroéducation" consiste ainsi à optimiser les mécanismes cérébraux permettant d'apprendre mieux.
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Les vidéos de ce canal utilisent les sources suivantes :
- Rapports d’accidents des autorités aéronautiques (BEA, NTSB, FAA, OFAC… etc.)
- Documents judiciaires
- Livres écrits par des survivants, pilotes, enquêteurs et autres personnes impliquées
- Quand c’est possible, témoignages de survivants, témoins et enquêteurs
- Articles de médias
- Documents d’audiences publiques quand elles ont eu lieu
- Documents NASA, US Air Force, agences antinationales et internationales de sécurité aérienne et de régulation de l’aviation, associations de pilotes…
L'affaire des Avions renifleurs est une affaire politico-financière française durant laquelle Elf Aquitaine, entreprise publique française, a été victime d'une escroquerie entre 1975 et 1979.
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