L’intelligence artificielle générative a un nouveau souci : les verres de vin. Et pas n’importe lesquels : les verres de vin remplis à ras bord. À moins de faire un prompt tarabiscoté et de multiplier les essais, les IA génératives comme Midjourney et Dall-E peinent beaucoup à verser le liquide jusqu’en haut du récipient.
Longtemps, l’intelligence artificielle avait une faiblesse bien connue des spécialistes, qui permettait d’ailleurs de facilement repérer les images factices. Il suffisait de regarder attentivement les mains : elles avaient bien souvent trop de doigts. Depuis, les systèmes d’IA ont progressé et on ne peut plus trop compter sur cette astuce.
Avec le temps, d’autres points faibles de l’IA générative ont cependant été repérés. Par exemple, on a constaté que certaines plateformes peinaient à créer des spaghettis et des monocycles. Mais, depuis peu, un autre sujet a l’air de mettre en grande difficulté les Midjourney et autres Dall-E : ce sont les verres de vin.
Alors qu'Haïti sombre dans la violence des bandes criminelles, notre grand reporter @CharlesVilla s'est rendu sur place pendant une semaine pour mieux comprendre la situation. Là-bas, il est parti à la rencontre du puissant chef de gang Jimmy "Barbecue" Chérizier, de ses adeptes, mais aussi des victimes de la flambée des violences et des humanitaires qui font tout leur possible pour leur venir en aide. Une série documentaire en 3 épisodes.
mai 2024
Le fondateur de WikiLeaks a été libéré de sa prison britannique et a pu rejoindre son Australie natale. C’est la fin d’une saga judiciaire de quatorze ans.
Après des années d’appels et de litiges judiciaires, le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a conclu un accord avec le gouvernement américain.
Il faisait l’objet de plusieurs chefs d’accusation pour utilisation abusive d’ordinateurs et espionnage, pour avoir publié sur WikiLeaks des documents sensibles du gouvernement américain fournis par Chelsea Manning. Washington a affirmé à plusieurs reprises que les actions d’Assange mettaient en péril la sécurité nationale des États-Unis.
Ce mercredi, devant le tribunal fédéral américain de Saipan, dans les îles Mariannes du Nord (choisi en raison du refus d’Assange de se rendre sur le territoire continental des États-Unis, ainsi que pour sa proximité avec l’Australie), Assange, libéré la veille de la prison londonienne où il était détenu depuis cinq ans, a plaidé coupable d’un chef d’accusation au titre de la loi sur l’espionnage. Les autres chefs d’accusation le visant ont été abandonnés et la demande d’extradition vers les États-Unis retirée. Assange a ensuite pris un autre vol pour rentrer à Canberra, où il a été accueilli par ses proches.
Charles Villa, grand reporter et reporter de guerre, qui a filmé des conflits dans des pays en guerre.
Le président chinois garde un mauvais souvenir de son passage dans la capitale Française.
Russie, Chine, Iran : trois régimes autoritaires qui s’unissent pour prendre leur revanche contre l’Occident et restaurer leur puissance impériale. Ce documentaire aussi dense que glaçant déroule l’anatomie de cette alliance.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, clarification inédite de leur coopération, jamais la Chine, la Russie et l’Iran n’avaient été aussi alignés sur la scène internationale contre un ennemi commun : l’Occident. Après des années de rapprochement silencieux, ils signent des partenariats historiques et cherchent à peser sur l’échiquier mondial. Ces trois régimes autocratiques ont une feuille de route commune : mettre fin à l’hégémonie occidentale et restaurer leur zone d'influence respective, particulièrement au Moyen-Orient, en Eurasie et en Asie du Sud. Ils souhaitent aussi imposer une vision du monde remettant en cause le système de droit international d’après-guerre – à commencer par les droits de l’homme, dont ils récusent l’universalisme. Contournement des sanctions internationales, guerres en Ukraine et en Israël, sommets internationaux comme celui des Brics (que l’Iran a intégré en 2024), obstruction au sein des instances mondiales, ingérence dans les démocraties occidentales pour en déstabiliser l’opinion… En menant un affrontement hybride, à la fois militaire, technologique, commercial, géostratégique, informationnel et civilisationnel, cette alliance menace de faire entrer le monde dans une ère d’instabilité.
Monde parallèle
Ce documentaire expose une stratégie commune tentaculaire, qui agit sur tous les fronts – depuis les interventions russes et iraniennes pour soutenir le régime d’Assad en Syrie jusqu’aux campagnes de désinformation lancées pendant le Covid ou la fourniture par la Chine à ses alliés de technologies de pointe destinées à réprimer leur propre population. À la genèse de cette idéologie de la revanche, il y a un événement fondateur que chaque pays cultive dans son récit national : en Chine, le souvenir cuisant des guerres de l’opium, symbole de la domination occidentale ; en Iran, le soutien des États-Unis au coup d’État de 1953 puis au chah d’Iran ; et en Russie, l’humiliation que constitue pour Vladimir Poutine la chute de l’URSS. À partir de ces jalons mythifiés, Sophie Lepault (Le monde de Xi Jinping, La nouvelle puissance indienne – Le monde selon Modi) et Julian Blum déroulent dans cette enquête géopolitique ambitieuse et glaçante la chronologie du rapprochement presque irrésistible de trois "néo-empires" décidés à organiser un monde parallèle, alternatif au monde occidental symbolisé par l’Otan ou les institutions onusiennes. Ils mobilisent de nombreux analystes et interlocuteurs de renom, dont les propos sont mis en regard avec ceux, offensifs, d’officiels chinois, iraniens et russes, aux intentions désormais clairement affichées.
Toujours les premiers en ce qui concerne le progrès, c'est fou
Comment disparaître d'Internet ?
Avec la pandémie de covid, le lavage des mains a été fortement encouragé (et l’est toujours). Des gels et savons ont été mis à disposition. Par ailleurs, les consommateurs sont incités à utiliser des produits solides ou en vrac. Cela favorise-t-il les risques de contamination ? Réponse dans The Conversation.
La récente pandémie de Covid a bouleversé notre quotidien et fait évoluer nos rituels d’hygiène… en imposant le port du masque, comme en remettant sur le devant de la scène le nettoyage des mains. Ainsi, les communications de Santé publique France rappellent à nouveau depuis trois ans l’importance de se laver régulièrement et soigneusement les mains pour limiter les risques d’infection.
Savons et gels hydroalcooliques ont dans le même temps réinvesti les lieux d’accueil du public. Des légions de mains se sont ainsi relayées aux distributeurs collectifs placés aux entrées des magasins et autres savons solides des sanitaires.
La prise de conscience de l’impact environnemental incite en parallèle les consommateurs à favoriser des produits d’hygiène solides ou commercialisés en vrac afin de limiter les emballages, notamment en plastique.
Face à ces nouvelles pratiques, existe-t-il de nouveaux risques de contaminations microbiologiques ? Dans quelle mesure les produits d’hygiène mis à disposition dans un lieu public peuvent-ils être infectés et nuire à la santé ?
Comprendre ces risques et leurs enjeux implique de revenir sur les propriétés et la composition des produits d’hygiène, de rappeler les réglementations ainsi que les sources de contamination potentielles.
Un peu d’histoire : depuis quand recommande-t-on de se laver les mains ?
C’est en 1847 que le médecin Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865) démontre l’utilité du lavage des mains au savon dans la prévention des cas de fièvre puerpérale.
En 1961, le Service de Santé publique des États-Unis publie une recommandation ordonnant au personnel de santé de se laver les mains avec du savon et de l’eau pendant 1 à 2 minutes avant et après contacts avec les patients, afin de réduire la propagation des microorganismes pathogènes.
C’est ainsi que l’utilisation du savon s’est étendue sous l’influence des épidémies à transmission manuportée telles que les grippes, gastroentérites, toxi-infections alimentaires et communautaires (TIAC) et plus récemment le Covid-19. L’hygiène des mains limite considérablement la circulation des agents infectieux, réduisant de façon conséquente la consommation d’antibiotiques – et la probabilité de voir apparaître des résistances dont prise en charge et traitement sont difficiles et coûteux. Malgré cela, cet usage est encore trop limité.
Solide, liquide, moussant : les grands types de savons
Produit d’hygiène ancré dans les pratiques quotidiennes, privées et médicales, le savon ou plutôt « les » savons se déclinent aujourd’hui sous différentes formes, solide, liquide et même sous forme de mousse, selon le procédé de fabrication et la composition.
Un savon est obtenu par réaction chimique de saponification entre un composé basique et des corps gras, huiles ou graisses. C’est la nature du composé basique qui définit la texture du savon : solide avec la soude, liquide avec la potasse.
- Un savon solide est obtenu par réaction de saponification d’huile (olive, palme, coco…) et de soude, à froid ou à chaud. Anhydre, son pH est basique, compris entre 8 et 10.
- Un savon liquide renferme des composés obtenus par réaction de saponification d’huile et d’hydroxyde de potassium dilué dans de l’eau. Constitué d’une quantité importante d’eau, son pH est neutre à basique, compris entre 7 et 9.
- Un gel moussant est obtenu par un procédé classique de mélange de différents ingrédients : de l’eau, des tensioactifs synthétiques ou naturels ayant des propriétés nettoyantes et moussantes, des gélifiants et des agents conservateurs. Son pH est neutre, compris entre 6 à 7.
Le savon n’a eu de cesse de changer de statut, considéré soit comme un produit cosmétique, soit comme un produit d’hygiène, un excipient ou encore une substance active – dans la mesure où il pouvait être utilisé dans des préparations destinées à traiter la gale, les brûlures ou dans des purges.
Considéré depuis le XIXe siècle comme un médicament, c’est la loi de 1975 puis la directive 76/768 CEE (4) qui reclassifient le savon en produit cosmétique, interdisant de fait les revendications d’actions thérapeutiques. Ainsi, le savon parfume, nettoie et protège la peau, permet de limiter les odeurs corporelles mais il ne soigne pas.
À côté des savons grand public, les savons dits antiseptiques sont des dispositifs médicaux. Ils combinent un détergent et un antiseptique, qui leur confèrent des propriétés nettoyantes et anti-microbiennes. La réglementation leur impose de répondre à des exigences précises en termes d’efficacité bactéricide, fongicide et virucide, excluant de fait le risque de contamination.
Enfin, les gels et solutions hydroalcooliques sont quant à eux des biocides. Constitués majoritairement d’eau distillée et d’alcool (à raison de 65 à 75 %), ce sont d’excellents désinfectants destinés à éliminer les microbes de la peau saine, avec un très large spectre d’action contre les microorganismes, excluant de fait le risque de contamination.
Peut-on être contaminé par un savon ?
La probabilité de contamination d’un savon est intrinsèquement liée à sa composition, qui détermine son pH et sa teneur en eau libre. La plupart des bactéries pathogènes se développent à un pH proche de la neutralité (pH~ 7) avec une tolérance entre 6 et 9. A contrario, un milieu dont le pH est très acide ou très basique ralentit leur croissance.
Les savons solides, basiques, présentent donc un risque de contamination faible. Ils ne peuvent héberger des microorganismes ni dans leur masse, ni en surface, tant et si bien que la législation en cours via la norme ISO 29621 a établi que l’ajout de conservateurs n’était pas nécessaire. Ainsi, il n’y a pas de risque à utiliser un savon solide qui s’éterniserait sur un évier ou un lavabo dans les conditions classiques d’utilisation.
La teneur en eau libre (AW= activity of water), susceptible d’être utilisée par les enzymes du métabolisme microbien, a également un impact sur la prolifération microbienne. Plus l’AW d’un produit est élevée et plus ce dernier sera propice au développement de microorganismes. De pH neutre, avec une AW élevée, les gels moussants et les savons liquides sont à risque de contamination, et c’est pour cela que les fabricants industriels y ajoutent des conservateurs. Leur efficacité est évaluée grâce à un test standard normatif (challenge test, norme ISO 11930), afin de garantir que la croissance microbienne est limitée dans des conditions normales de stockage et d’utilisation pendant la durée de vie du produit.
Quelle que soit la forme du savon, leur fabrication industrielle requiert de respecter de bonnes pratiques de fabrication (BPF), qui comprennent des contrôles microbiologiques et des tests quand c’est nécessaire, pour évaluer les agents conservateurs. Ainsi, il n’y a pas de risque à utiliser des savons industriels.
Que penser des ventes de savon liquide en vrac ? Un vrai défi pour les points de vente qui assurent le conditionnement et se doivent de garantir le respect de la règlementation ! Ils doivent eux aussi appliquer les bonnes pratiques de fabrication (BPF), disposer de Dossiers d’Information sur les Produits (DIP), notifier les produits et mettre leur nom sur les étiquettes.
Depuis la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, les professionnels sont tenus d’accepter les contenants des consommateurs dès lors qu’ils ne sont pas sales ou inadaptés. Le Code de la consommation, article L.120-1, autorise la vente en vrac de produits de consommation courante, sauf exception justifiée par des raisons de santé publique. L’article L.120-2 prévoit quant à lui qu’un affichage en magasin informe les consommateurs sur les règles de nettoyage et d’aptitude des contenants réutilisables.
Voilà pour la théorie, qui sous-entend des gérants au fait de la législation, et une attention particulière des autorités sanitaires.
De très rares cas de contaminations avec un savon
De rares contaminations peuvent toutefois survenir. Elles trouvent leur origine au niveau industriel, en lien avec des dysfonctionnements des procédés de production, de conditionnement et de stockage qui favorisent le développement de souches de bactéries résistantes en milieu basique comme Cellulosimicrobium, Dietzia, Arthrobacter et Micrococcus (dont le potentiel virulent est peu étudié). L’installation d’équipements de purification d’air et de filtration de l’eau peut apporter un réel bénéfice pour éliminer ce risque.
Quelques rares cas ont été documentés. Des contaminations de Nesterenkonia lacusekhoensis (Micrococcus) ont par exemple été observées en 2016 au Canada sur des savons de Castille, suite à un changement d’odeur. Ces bactéries aérobies vivent dans des environnements extrêmes à des températures supérieures à 30 °C, sols et eaux hypersalés alcalins, sols désertiques. Bien qu’elles soient peu pathogènes, les savons ont été retirés du marché à la demande du gouvernement canadien.
Les savons de Castille sont spécifiques car fabriqués selon la technique de saponification à froid, lente et moins polluante en comparaison de la saponification à chaud utilisée pour les savons de Marseille et d’Alep. Ce qui en a fait un milieu de choix pour N. lacusekhoensis. Cependant, à l’heure actuelle, aucune étude ne démontre l’influence de la technique de saponification à froid ou à chaud sur le niveau de risque de contamination.
D’autres cas de contaminations ont été observés dans des distributeurs de savons liquides et de gels moussants dans l’espace collectif (restaurants ou toilettes publiques). Ici, c’est l’étape de rechargement des distributeurs qui est critique, dans la mesure où elle favorise la pollution par des bactéries fécales dont certaines, comme Escherichia coli, peuvent être responsables de gastro-entérites. Pour éviter ce phénomène, les autorités sanitaires préconisent le nettoyage et la désinfection des distributeurs avant le rechargement.
En résumé : le risque est très faible
En synthèse, les contaminations de tous ces produits d’hygiène des mains sont très rares, tout comme les risques de transmission de maladies infectieuses par leur biais.
Les savons ont un rôle nettoyant et enlèvent l’ensemble des matières organiques à la surface de la peau, y compris les microorganismes. Leur rôle est donc bien différent de celui des produits hydroalcooliques, qui ne lavent pas mais désinfectent (quand la peau est débarrassée des saletés).
Le savon reste ainsi le moyen le plus simple et le plus efficace pour prévenir la propagation des infections… À utiliser tout de même avec modération, car les lavages excessifs fragilisent le microbiote cutané et le film hydrolipidique de la peau, qui aura plus de difficulté à lutter contre les invasions microbiennes.
C’est une première dans la sphère scientifique : il est désormais établi que les discours abscons, alarmistes et va-t-en-guerre du philosophe TV Bernard-Henri Lévy constituent des polluants éternels aux conséquences graves sur le cerveau. Selon Frédérique Bordier, directrice de recherche, « Il est urgent de les interdire, car cela a trop duré : BHL est invité sur tous les plateaux télé depuis 40 ans, et a probablement contaminé des millions de Français. Certains croyaient ses discours et ses avis pertinents, et faisaient fausse route depuis le début : en réalité, ils causent une perte de neurones, des contresens, des difficultés d’analyse… Ces prises de paroles ont rendu les Français plus bêtes qu’avant. Il faut que le gouvernement fasse quelque chose ».
Une question demeure : comment interdire les prises de parole de BHL alors qu’il s’invite en permanence sur les chaînes info ? « Parfois, on commence l’émission et on le découvre, chemise ouverte sur le plateau, prêt à parler de tout : l’Ukraine, Gaza, les violences au collège, l’économie… On est obligés de l’interviewer pour être polis. » confie un journaliste qui a préféré garder l’anonymat. Des solutions sont à l’étude actuellement pour le tenir à l’écart, notamment le fait de laisser une tarte à la crème bien en évidence sur le plateau TV, car BHL a développé une phobie de ces desserts, depuis qu’il s’est fait entarter pas moins de 10 fois devant les caméras.
L’ancien ministre de la Culture a été chaudement pleuré environ 0 seconde par les garçons du quartier de Patpong dont il vantait les plaisirs dans son ouvrage.
Les autorités thaïlandaises ont annoncé la mise en berne des drapeaux pour celui qui a assuré une très grande promotion touristique du pays dans son ouvrage de 2005 “la mauvaise vie”. “Nous perdons notre meilleur ambassadeur” a témoigné un proxénète qui tenait sous sa main plusieurs dizaines de jeunes garçons réduits à l’état de morceaux de chair pour vieux messieurs en mal de plaisir et avec beaucoup trop d’argent dans les poches.
De son côté, son grand ami Gabriel Matzneff a annoncé qu’il allait prononcer son éloge funèbre.
Bonjour, depuis la dernière mise à jour samsung ui6.0 je n'arrive pas à avoir une connexion wifi stable sur mon a54. Je suis connectée au wifi mais le débit fibre n'est pas stable. Souvent j'ai le message "connecté sans internet". Quand je compare le débit entrant entre le portable xiaomi de mon mari et le mien on passe de 180 à 3,9 pour moi...
J'ai déjà redémarré et mis à jour la box. Fait la mise à jour de janvier samsung. Vérifier mes paramètres de sécurité et même réinitialiser les paramètres réseaux... seul mon portable rencontré ce soucis. Les autres samsung en OS inférieur n'ont pas le soucis.
je ne sais pas si le pb vient d'une absence de mise à niveau de la box orange 5 au vu des évolutions des OS ou un pb dans le développement de la MAJ Samsung.
Dans tous les cas ni samsung ni orange ne répond malgré les nombreux message sur les forums samsung.
Bonjour,
Problème résolu pour moi.
Pour les heureux propriétaires de livebox, il se trouve qu'Orange a la bonne idée de mettre le même nom de wifi SSID pour le réseau 2,4Ghz et le 5Ghz par défaut.
Il suffit de leur donner un nom différent.
Aller dans les réglages de votre box :
https://assistancepro.orange.fr/internet_livebox/utiliser/interface_de_configuration/livebox_pro_v4/...
Réglage Wifi, aller sur les paramètres de la 5Ghz et il est même prévu une option "nom différent" a cocher et c'est réglé.
Après validation, vous avez donc 2 réseaux Wifi.
Ce qui doit se passer c'est que le dernier firmware du téléphone voit les 2 bandes de fréquence pour un même réseau enregistrer et doit constamment osciller entre les 2 ou un truc louche qui met en vrac les connexions.
Après la sortie de notre documentaire "Pyramide, le grand virage" la chaîne Le grand virage s'ouvre vers de nouveaux horizons. En effet, après le succès du premier film, nous allons désormais proposer un contenu en adéquation avec l'actualité et des sujets de vulgarisation et de debunk des différentes théories ou sujets sur internet.
L’ALDHHAA est l’Association de Lutte contre la Désinformation en Histoire, Histoire de l’Art et Archéologie.
L’association se positionne contre la désinformation et la réécriture des faits historiques (aux dépens des consensus scientifiques). Notamment si elle est au profit d’idéologies politiques et/ou nationalistes, de manipulations des discours, de théories sectaires ou complotistes. Elle tend à vu
The Fuji Ninja Wheel is an unparalleled omnidirectional drive wheel for transport vehicles that can travel in any direction.
The design is both functional and futuristic, and once you see it, it's geometric and beautiful and leaves a lasting impression.
Étienne Jacob, journaliste au «Figaro», spécialiste des mouvements sectaires, décrypte la vidéo d'un couple appartenant aux «Citoyens souverains» qui refuse de se soumettre à un contrôle routier à Esquelbecq (Nord). Il identifie des signes de dérives sectaires importées de l’étranger.
Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information.
Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : en finançant abondamment des études scientifiques concurrentes, susciter un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
Agnotologie
Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein.
On s'est demandé, avec Loïc, qu'est-ce qui poussait quelqu'un à devenir un hater sur internet. Et - pourquoi pas - est-ce que ça existe "vraiment" un hater ?
Fabien Olicard
La SACEM ne veut pas qu’on diffuse de la musique aux enterrements. Ou plutôt si, elle veut bien mais à condition que vous payez les droits d'auteur. Bref, elle a pompé du fric aux pompes funèbres.
As pointed out on protondb, it seems the problem is with debian and nvidia specifically. Installing the following packages helped me to actually start the game: